dimanche 21 décembre 2014
Les catastrophes naturelles:les inondations au Maroc
Les inondations au Maroc
En tout cas, les conséquences de ce type de catastrophe sont alarmantes. Ainsi, le coût moyen annuel des risques est estimé à 5,6 milliards de DH. Les dégâts d’un tremblement de terre peuvent être lourds. Dans les détails, le secteur résidentiel, le plus menacé, peut engendrer des dégâts évalués à 506 millions de DH. Viennent ensuite les secteurs commercial et industriel avec des pertes estimées respectivement à 31,4 millions et 144,4 millions de DH.
Outre les séismes, l’étude s’attarde également sur le phénomène des inondations. Selon le document, les régions qui y sont le plus exposées sont le Gharb-Chrarda-Beni Hssen, le Grand Casablanca et Tanger-Tétouan. Les dommages peuvent atteindre 1,8 milliard de DH pour le secteur résidentiel, 471 millions de DH pour les activités industrielles et 434 pour le secteur commercial. Par ailleurs, l’étude a mis en garde contre l’impact de la sécheresse qui est devenue de plus en plus récurrente au Maroc.
Les catastrophes naturelles:les séismes au maroc
Les séismes au maroc
Bien des menaces planent sur le Maroc en matière de catastrophes naturelles.
C’est en tout cas la problématique dont s’est saisi le ministère des Affaires générales et de la gouvernance. En effet, le département de Mohamed Najib Boulif a préparé une étude sur la gestion des risques, en collaboration avec la Banque mondiale. L’objectif est d’identifier les aléas de la nature pour limiter les pertes humaines et les dommages matériels susceptibles de survenir suite à ces incidents. Surtout que la croissance démographique et plus particulièrement la forte urbanisation que connaît le pays l’exposent davantage aux risques.
Premier constat alarmant de ce document qui aura nécessité 4 ans, la probabilité d’un tremblement de terre dépasse 95% sur une période de 30 ans. Le nord du pays, notamment les villes de Nador et d’Al Hoceima qui a déjà été frappée par un violent séisme en 2004, est le plus exposé au risque. Par contre, l’est du pays est beaucoup moins menacé. Mais à la grande surprise, la menace est moins élevée dans le sud du Royaume, même à Agadir qui avait été complètement détruite par un foudroyant tremblement de terre en 1960. Pourtant, élus et opérateurs du BTP avaient tiré la sonnette d’alarme en 2012 sur la non-application de l’arsenal juridique qui réglemente l’acte de bâtir dans cette ville qui a été à l’époque rayée de la carte après le séisme.
Le développement économique durable au maroc
Le Royaume du Maroc, comme tous les autres pays signataires de la déclaration politique de la charte de l'énergie, a été associé aux négociations en vue de la modernisation et l'actualisation de cette Charte qui vise à promouvoir la coopération internationale dans le domaine de l'énergie et favoriser un développement économique durable.
L'empoisonnement au Maroc
Au maroc, les décès par empoisonnement progressent en permanence malgré les progrès de la médecine, de la réanimation et de la toxicologie. Ils représentent un taux moyen de mortalité de 2,4 par million d'habitants entre 1992 et 2009. Ce taux est passé de 1,3 en 1994 à 4,73 en 2004. C'est ce que constate le Centre antipoison et de pharmacovigilance du Maroc (CMAP) dans le dernier numéro de sa revue « Toxicologie ».
Les dangers de la cigarette
Il est prouvé que les produits du tabac contiennent et émettent de nombreuses substances nocives ainsi que des agents cancérigènes connus, dangereux pour la santé humaine après combustion. Les principaux effets sont, chez l'adulte, une augmentation d'environ 25 % des risques de cardiopathie ischémique et de cancer du poumon. Chez les enfants, l'exposition à la fumée de tabac augmente le risque de mort subite du nourrisson, d'infections respiratoires, d'otites et d'asthme.
Il a été clairement démontré sur le plan scientifique que le tabagisme passif est la cause de décès, de maladies et d'incapacités et comporte des dangers, notamment pour les enfants à naître et les nourrissons. Il peut provoquer ou aggraver des problèmes respiratoires chez les personnes qui inhalent la fumée.
La beauté des èspaces verts au Maroc
Le Maroc se prépare à l’entrée en vigueur du projet de loi-cadre portant charte de l’environnement et du développement durable, pour l’heure adopté par le Conseil du gouvernement, mais le moins que l’on puisse dire c’est que la préparation rique d’être longue. Si l’on prend le seul article 3 du projet de loi-cadre qui déclare solennellement que «tout citoyen a le droit de vivre dans un environnement sain et de qualité», il est légitime de se demander comment ce droit sera assuré du jour au lendemain. La question de l’aménagement extérieur dans son ensemble, ou tout simplement des espaces verts, est en ce sens un cas concret. Sans parler de la polémique actuelle qui tourne autour de la dégradation du Parc de la Ligue arabe, la gestion des espaces verts publics, comme privés d’ailleurs, laisse encore à désirer. Rachid Aouch, architecte-paysagiste, ne mâche pas ses mots : «Au Maroc, le paysage n’est pas encore reconnu pour être traité comme il le mérite. L’activité d’entretien des espaces verts est inexistante : ce n’est pas un marché, c’est une véritable jungle». Cette situation est le résultat d’une absence totale de réglementation dédiée à l’activité. Une personne possédant une tondeuse peut vendre ses services en tant que jardinier, paysagiste, voire plus. De plus, le manque de formation gangrène encore le secteur.
Le climat marocain
Le climat marocain varie selon la saison et la région. La côte a un climat méditerranéen tempéré sur la côte est par les alizés. Les régions intérieures ont un climat plus chaud et plus sec, le climat continental. Dans le sud du pays, le climat est très chaud et sec pendant presque toute l'année, même si la température peut chuter de manière spectaculaire la nuit, en particulier durant les mois de décembre et janvier. La pluie tombe de novembre à mars dans les zones côtières, et le pays est principalement sec avec des températures élevées en été et un climat plus frais dans les montagnes. Marrakech et Agadir jouissent d'une température moyenne de 21°C en hiver.
La côte nord du Maroc, et l'intérieur des montagnes, le Rif, ont un climat méditerranéen semblable à celui décrit pour l'Algérie. Le Nord-ouest du Maroc, en particulier les montagnes du Rif, est exposé à des dépressions atlantiques en hiver et les précipitations sont moyennement élevées. La côte atlantique sud, jusqu'à Agadir reçoit plus de 200 mm de pluie en hiver, mais plus au sud, le climat devient progressivement plus sec et le désert du Sahara s'étend vers la côte. Les précipitations augmentent jusqu'à plus de 400 mm dans le nord de Casablanca.
Le climat de la région saharienne du Maroc est similaire à celle décrite pour l'Algérie, sauf que dans le sud, où le désert arrive à la côte, l'été, les températures sont modérées par la fraîcheur des eaux et à la persistance des brises marines. Ici, les températures hivernales sont également plus douces qu'à l'intérieur des terres.
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